dimanche 16 août 2009

Ne te retourne pas

Si mon précédent message commençait avec un enthousiaste "coup de coeur !", ce ne sera pas le cas de celui-ci. Ce serait plutôt "déception !". Quoique, non, puisque que je n'attendais pas grand chose de ce livre non plus. Je l'ai trouvé chez ma grand-mère, alors que je ne savais pas quoi lire. Un petit thriller, pourquoi pas, sauf que celui-ci ne m'a pas vraiment plu.

Walker a 19 ans, il a été abandonné sur une route à l'âge de trois ans, et cherche depuis à savoir qui sont ses parents, et surtout pourquoi cet abandon. Décidé à trouver des réponses, il part à Toronto, après avoir retrouvé une lettre d'une amie de sa mère, qui constitue sa première piste.

Je ne sais pas vraiment pourquoi ça n'a "pas pris", si c'est plus l'histoire ou le style qui m'a déplu. Les deux je pense. Est-ce encore une fois la faute de la traduction ? Peut-être. Mais sûrement pas entièrement. Et le résumé est trompeur : "ne te retourne pas" est censé être la phrase prononcée par sa mère au moment de l'abandon de Walker, or elle n'est pas prononcée une seule fois dans le livre... Cherchez l'erreur.

Ne te retourne pas [Midnight cab], James W. Nichol [traduit de l'américain par Mathilde Martin] (1988)

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